Andrea Morricone dirige un orchestre symphonique pour un hommage officiel à son père, le grand ENNIO MORRICONE.
Une première partie axée sur les westerns de Sergio Leone
C'est un Bercy en toute petite configuration qui reçoit l'orchestre symphonique dirigé par les fils d' Ennio Morricone. Tous les balcons sont fermés et cachés par des rideaux noirs et les tribunes biens garnis ne font cependant pas le plein. Très certainement 6 à 8000 personnes.
Ce n'est pas ça qui va nous empêcher d'apprécier le concert qui débute par le thème des Incorruptibles. un grand écran en fond de scène va diffuser, selon les morceaux, des images des musiciens ou des extraits de scènes de films. Ennio Morricone apparaît des temps en temps sur l'écran géant pour nous présenter une musique, tout comme des cinéastes ou des acteurs nous racontant leur travail avec Ennio.
Une première partie axée sur les Westerns de Sergio Leone avant un petit entracte.
Une seconde partie axée sur le cinéma social
La seconde partie démarre par un morceau composé par le chef d’orchestre de la soirée en hommage à son père. Quelques classiques pour reprendre avec Le Professionnel et Cinéma Paradiso. Tarantino est mis à l'honneur avant que le concert ne se porte principalement sur le cinéma social ( "La bataille d' Alger", "Un Citoyen au dessus de tout soupçon"...)
La fin est habituelle, la reprise du thème du Bon de la Brute et du Truand avec le retour de la cantatrice pour une version épique de ce thème bien connu des fans de Metallica.
Un bon concert dans l'ensemble mais qui perd un peu de son intérêt sans le présence du Maestro.
Belle soirée
SETLIST:
Les Incorruptibles
Deborah's Theme ( Il était une fois en Amérique)
The Legend of 1900
Clan des Siciliens
Metti una cena
Il était une fois dans l'Ouest
Bon Brute truand Il était une fois dans l'Ouest Il était une fois la révolution
Michael Lindsay-Hogg, le réalisateur de "Let it be" des BEATLES expose ses dessins et peintures.
Michael Lindsay-Hogg n'est pas qu'un réalisateur prolifique pour les Beatles, Rolling Stones, Neil Young, Simon & Garfunkel etc... C'est aussi un dessinateur et peintre prolifique qui a utilisé la période du confinement afin des réaliser des portraits, caricatures et peintures aujourd'hui présentés à la galerie.
Une mémoire vivante du Rock
"Si vous vous rappelez des années 60 c'est que vous n'y étiez pas !" Eh Bien, Michael y était et se rappelle de tout. Notamment que le groupe de Steve Winwood devait normalement être au Rock'n Roll Circus des Stones. Un puits incroyable d'anecdotes en tout genre.
Dernière actualité du Monsieur, le travail incroyable de Peter Jackson avec ses images filmées lors de l'enregistrement de l'album des Beatles "LET IT BE" aux Twickenham studios, à Saville Row dont le concert sur le toit. Le tout restauré et diffusé chez Disney+ sous le titre GET BACK et la récente sortie du BluRay et du livre.
Les CURE terminent leur tournée Française par une date (sold-out depuis longtemps) à Paris Bercy.
On peut s'attendre à un concert de plus de 2h30.
Un Bercy plein à craquer 6 ans après leur dernier concert à Paris dans cette même salle.
Première partie assurée par The Twilight Sad tout comme il y a six ans: sympathique Un Bercy plein à craquer même si on aurait pu remplir les tribunes dans les deux virages sur les côtés de scène, ça aurait permis de faire moins de malheureux dehors à la recherche d'un billet.
Décor minimaliste: quelques amplis et un fond d'écran proposant des animations selon les titres. Les musiciens arrivent un à un sur un fond sonore de pluie, ils s'alignent gentiment devant avec Robert Smith au centre. Et c'est parti pour plus de deux heures trente de concert.
Un concert qui s'ouvre par un nouveau titre.
"Alone" ouvre le concert, c'est un nouveau titre, on attend toujours le nouvel album alors que "Wish" vient d'être réédité. Album qui ne sera pas mis à l'honneur ce soir. Ça démarre doucement et il faut deux-trois morceaux avant que le concert ne démarre vraiment et atteigne sa vitesse de croisière. Une setlist extrêmement équilibrée, le groupe pioche dans toute sa discographie seul "The head on the door" sera un peu plus représenté avec 4 titres.
Belle version de "The end of the summer" (plus bas en vidéo) tiré de "Bloodflowers" un de nos albums préférés du groupe. Il faut attendre une bonne heure avant d'avoir des titres plus enjoués et que le public commence à se manifester. La moyenne d'age du public n'étant pas très jeune, tout le monde reste gentiment assis. Le public sait se ménager les concerts des Anglais sont toujours assez longs.
Un concert qui monte lentement en intensité
Les concerts de CURE, ça se déguste et le set monte lentement en intensité, on sent le public de fans, de plus en plus concernés.
Déjà plus d'une heure quarante cinq que le groupe s'échine sur la scène que c'est le premier rappel. On va avoir droit à une succession de tubes (voir setlist plus bas) afin de mettre tout le monde d'accord.
Un très bon concert du groupe
SETLIST:
Alone Pictures of You A Night Like This Lovesong And Nothing Is Forever The Last Day of Summer Want A Fragile Thing Burn At Night Charlotte Sometimes The Figurehead A Strange Day Push Play for Today Shake Dog Shake From the Edge of the Deep Green Sea Endsong
Encore: I Can Never Say Goodbye Faith A Forest
Encore 2: Lullaby The Walk Friday I'm in Love Close to Me In Between Days Just Like Heaven Boys Don't Cry