A Bowie Celebration @ Olympia, Paris, 16 Jan 2019
Premier concert de l'année 2019 pour ROCKERPARIS. David Bowie fait toujours recette puisque l'Olympia est blindée.
Mike Garson, en maître de cérémonie, monte en premier sur la scène du Boulevard des Italiens. Le concert débute tout doucement par le titre qui d'habitude ouvrait le premier rappel des concerts du patron sur les dernières tournées: "Bring me the Disco king" qu'il interprète en solo avant d'être rejoint par le reste de la troupe pour une version bien rock du "Rebel Rebel" et c'est parti pour près de deux heures de concert.
Le groupe a un peu évolué depuis le concert de l'année dernière: Gerry Léonard a été rejoint par Earl Slick et Mark Plati aux guitares, Carmine Rojas n'a pas bougé tout comme le seul chanteur rescapé Joe Sumner qui est désormais accompagné de Bernard Fowler ( choriste des Stones) et Corey Glover du Living Colour.
Angelo Moore qui avait amené un peu de folie au concert trop pépère donné à la Salle Pleyel a été viré, Monsieur prenait un peu trop la vedette.
Les tubes s’enchaînent pendant la première partie du show, les deux chanteurs principaux ( Bernard et Corey) s'en sortent haut la main même s'ils ont les yeux un peu trop rivé sur leur texte à notre goût, ils auraient pu faire un petit effort pour apprendre les paroles. Moins de 25 titres à se partager à trois, avec Joe Sumner ( toujours aussi insipide) ce n'est quand même pas la mer à boire. Enfin passons...
Musicalement il n' y a rien à dire ça tourne et les titres s’enchaînent...
La première invitée de la soirée est Carmen Maria Vega ("Starman" et "This is not America") juste avant que l'on explore des titres un peu plus obscures du catalogue Bowie: "Win", "Quicksand", "Sweet Thing" les fans sont aux anges, il y a vraiment peu de chances qu'ils aient déjà entendu ces titres sur scène.
Catherine Ringer des Rita Mitsuko nous interprète "Five years" qu’elle demandera à recommencer s'étant un peu prise les pieds dans le tapis, le public ne lui en tiendra pas rigueur.
Un public d'ailleurs complètement amorphe pendant tout le concert, impossible de les faire se lever même pour un titre bien rock comme "Sufragette City" ( chanté par Catherine Ringer), un comble. Le groupe laissera vite tomber lorsqu'il essayera, sans succès, de faire chanter tous ces vieux croûtons sur " All the young dudes" !!!
Gerry Leonard en solo inaugure le rappel avec une très belle version du "Andy Warhol" avant d'être rejoint par tout le casting pour "life on mars" et "Heroes" sur laquelle le public daigne enfin se lever: un miracle.
Une belle soirée
Mike Garson, en maître de cérémonie, monte en premier sur la scène du Boulevard des Italiens. Le concert débute tout doucement par le titre qui d'habitude ouvrait le premier rappel des concerts du patron sur les dernières tournées: "Bring me the Disco king" qu'il interprète en solo avant d'être rejoint par le reste de la troupe pour une version bien rock du "Rebel Rebel" et c'est parti pour près de deux heures de concert.
Le groupe a un peu évolué depuis le concert de l'année dernière: Gerry Léonard a été rejoint par Earl Slick et Mark Plati aux guitares, Carmine Rojas n'a pas bougé tout comme le seul chanteur rescapé Joe Sumner qui est désormais accompagné de Bernard Fowler ( choriste des Stones) et Corey Glover du Living Colour.
Angelo Moore qui avait amené un peu de folie au concert trop pépère donné à la Salle Pleyel a été viré, Monsieur prenait un peu trop la vedette.
Les tubes s’enchaînent pendant la première partie du show, les deux chanteurs principaux ( Bernard et Corey) s'en sortent haut la main même s'ils ont les yeux un peu trop rivé sur leur texte à notre goût, ils auraient pu faire un petit effort pour apprendre les paroles. Moins de 25 titres à se partager à trois, avec Joe Sumner ( toujours aussi insipide) ce n'est quand même pas la mer à boire. Enfin passons...
Musicalement il n' y a rien à dire ça tourne et les titres s’enchaînent...
La première invitée de la soirée est Carmen Maria Vega ("Starman" et "This is not America") juste avant que l'on explore des titres un peu plus obscures du catalogue Bowie: "Win", "Quicksand", "Sweet Thing" les fans sont aux anges, il y a vraiment peu de chances qu'ils aient déjà entendu ces titres sur scène.
Catherine Ringer des Rita Mitsuko nous interprète "Five years" qu’elle demandera à recommencer s'étant un peu prise les pieds dans le tapis, le public ne lui en tiendra pas rigueur.
Un public d'ailleurs complètement amorphe pendant tout le concert, impossible de les faire se lever même pour un titre bien rock comme "Sufragette City" ( chanté par Catherine Ringer), un comble. Le groupe laissera vite tomber lorsqu'il essayera, sans succès, de faire chanter tous ces vieux croûtons sur " All the young dudes" !!!
Gerry Leonard en solo inaugure le rappel avec une très belle version du "Andy Warhol" avant d'être rejoint par tout le casting pour "life on mars" et "Heroes" sur laquelle le public daigne enfin se lever: un miracle.
Une belle soirée
Le Boss: Mike Garson
Earl Slick & Mark Plati à la guitare
Corey Glover ( vocals) + Carmine Rojas ( bass) and Guest Carmen Maria Vega
Gerry Leonard à la guitare
Catherine Ringer des Rita Mitsuko pour deux titres dont "Five years"
Bernard Fowler choriste des Stones mais cette fois-ci en lead
Setlist & Merchandising