It's been a long since we last saw NASHVILLE PUSSY... in 2011.
They do a have a new drummer (what happened to Jeremy ?) and , as usual, a "new" bass player: Bonnie Buitrago.
Also very funny to see that on the merchandise table they are selling very old stuff including some of their very early singles from the very first line-up and... some posters from a few years back...Anyway we're here for the music
And we were not disappointed, Nashville Pussy are kicking ass, non stop rock'n roll for 90 min
A very good appetizer for what's coming up the next few days: AC/DC @ Stade de France !
Go Mother Fucker Go !!!
setlist& merchandising
Seasick Steve is also playing @ Bataclan on the same night
Après être passé au Zénith en 2013, c'est la superbe salle du Grand Rex qui a été choisie pour cette tournée de Nick Cave, on se demande bien pourquoi une si petite salle, les places se sont arrachées dès la mise en vente, malgré le tarif prohibitif (90 euros pour les meilleurs places); dehors c'est l’effervescence pour trouver un billet.
De nombreux fans sont encore dans la rue où au bar lorsque les musiciens font leur apparition, un à un, et sans véritable introduction, sur la scène.
Nick Cave s'installe au piano, qu'il ne quittera que pour quelques titres, avec sa manière si particulière d’arpenter la scène de long en large en regardant, droit dans les yeux, les fans des premiers rangs -avec une présence féminine renforcée-, qui se sont rués devant dès les premières mesures du concert.
2h20 d'un récital haut en couleurs, Nick Cave payera même de sa personne en allant faire un petit tour de chant dans la salle, en escaladant les fauteuils, avec l'aide de fans dévoués, ce qui ne l’empêchera pas de se rétamer entre deux sièges. Pas grave, -même pas mal - et même les petits soucis techniques avec la guitare où l'accordéon de Warren Ellis, vite réglés, il les prendra avec le sourire.
le bonhomme est, et reste de bonne humeur y compris lorsqu'il essaye de faire chanter la salle, à plusieurs reprises, sans vraiment y parvenir même quand il fait monter une dizaine de filles sur scène pour le dernier titre. Il en faut plus pour le décontenancer...
Une setlist des Bad Seeds avec une reprise de Léonard Cohen, bon au aurait bien aimé des titres de Nocturama mais c'est pas grave, Un Nick Cave impérial comme d'habitude.
setlist & Merchandising
Encore :
People Ain't No Good
Avalanche (Léonard Cohen)
We No Who U R
Up Jumped the Devil
Watching Alice
Jack the Ripper
Push the Sky Away
an old song:
Archives:
Nick Cave & The Bad Seeds@ Zénith, Paris Nov 19 2013
Voilà une quarantaine d’années que Jean-Claude
Vannier nous en fait voir de toutes les couleurs sonores.
Compositeur, arrangeur, chef d’orchestre, c’est avant tout l’auteur et
l’interprète de ses propres chansons que nous aurons le privilège d’écouter sur
la scène du 104 entouré de ses musiciens : Denys Lable (guitares), Tony Bonfils (basse), Daniel
Ciampolini (batterie) et un quatuor à cordes issu des rangs de
l’Opéra de Paris (Jeanne Lancien et Ludovic
Balla (violons), François Bodin (alto)
et Julie Chouquer (violoncelle)). Privilège parce
qu’en parfait électron libre, il ne se produit que lorsque ça lui chante.
Il donnera en exclusivité pour France Musique un tour de chant mêlant
de petits chefs-d’œuvre méconnus à d’autres que l’on reconnaîtra
instantanément sans forcément savoir qu’il en est l’auteur. Dans la
« chansonnerie » mauvaise ou bonne, comme disait Nougaro, le nombre
de ses collaborations comme auteur, compositeur et/ou arrangeur n’a d’égal
qu’une amplitude esthétique assez vertigineuse : de Johnny Hallyday à Serge
Gainsbourg en passant par Michel Polnareff, Claude Nougaro, Barbara, Mireille
Mathieu, Georges Brassens ou encore Brigitte Fontaine. C’est cela aussi
Vannier : l’un des trésors les mieux cachés de la chanson.
C’est dire si ce musicien, poète des sons aussi bien que des mots, autodidacte
de formation, manipulateur des instrumentarium les plus délirants reste après
tant d’années d’activité un artiste à découvrir.
Concert de Jean- Claude Vannier et ses musiciens retraçant une infime partie de sa carrière en temps qu'auteur et compositeur de musique de films et pour les autres.
Bien sûr on attendait avec impatience les titres de "Melody Nelson" vites expédiés dès le début du concert.
Le son est impeccable et l'interprétation musicale sans faute, JC Vannier, en plus de chanter, jouant du piano, de l'accordéon ou de la flute, malheureusement le concert ne décolle pas, la voix de JC Vannier, loin d'être parfaite, plombe un peu l'interprétation des titres. on aurait aussi aimer avoir peut être un peu plus d'interactivité avec le public, M Vannier ne s'adressant un public qu'au bout d'une heure lors du rappel pour annoncer, non sans une pointe d'humour, qu'ils n'ont aucun titre supplémentaire ( en général les plus connus), les ayant déjà joués dès le début du concert ( Les titres de Gainsbourg me semblent étrangement visés).
Le groupe reviendra néanmoins sur scène pour interpréter un titre déjà joué.
Un bon concert dans l'ensemble qui aurait mérité un peu plus d'enthousiasme de son principal interprète.
setlist
diffusion samedi 16 mai à 18h sur France Musique
dans l'émission Le Temps d'une chanson de Laurent Valéro
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